Je viens de lire les mémoires de Louise Michel, écrites en 1886, dont je vous livre un petit extrait. Après s’être retenue (c’est mon impression) une petite centaine de pages à parler de son enfance, elle exprime le fond de sa pensée sur la place des femmes, avec une belle énergie révolutionnaire !

Fin de la page précédente :

« Pour ma part, camarades, je n’ai pas voulu être le potage de l’homme, et je m’en suis allée à travers la vie, »

Début de le page suivante :

« Soyez tranquilles ! Nous ne sommes pas assez sottes pour cela ! Ce serait faire durer l’autorité : gardez-la afin qu’elle finisse plus vite ! »